L'identité du leader du gang de hackers Lockbit, le cybercriminel le plus recherché de la planète, a été dévoilée ce 7 mai par les forces de l'ordre. Un expert en cyber est parti en quête d'informations sur ce ressortissant russe.
L'identité du leader du gang de pirate Lockbit vient d'être dévoilée par les forces de l'ordre. Ce collectif de cybercriminels est responsable des cyberattaques contre l'hôpital de Corbeil-Essonne et plus récemment, l'hôpital de Cannes.
Aleksanteri Julius Kivimäki a été condamné par la justice finlandaise à six ans de prison. Ce cybercriminel recherché par Europol avait été arrêté par hasard par la police française.
Les hackers du pouvoir nord-coréen chassent leurs futures victimes sur le réseau professionnel LinkedIn. Ils se font passer pour des recruteurs et piègent leur cible avec des documents malveillants. Nous sommes partis à la recherche de ces faux profils avec un expert.
Une entreprise de cybersécurité constate une hausse dans le paiement des ransomware. Des méthodes plus « professionnelles » et ingénieuses de chantage forceraient les victimes à payer.
Deux semaines après la cyberattaque contre l'hôpital Simone-Veil de Cannes, le groupe de hackers Lockbit a revendiqué l'attaque. Ce gang de pirates avait pourtant été déstabilisé par une opération des forces de l'ordre récemment.
Des groupes de cybercriminels sont à la recherche de profils capables de trouver des informations, négocier et mettre la pression sur les victimes des cyberattaques, en particulier les grands patrons.
Les médias allemands révèlent que la Chine a espionné le groupe automobile Volkswagen pendant cinq ans, dérobant des dizaines de milliers de documents confidentiels, dont des informations sur les véhicules électriques.
Un hacker éthique a découvert de nombreuses failles de cybersécurité sur Wizz App, une application pointée du doigt pour des affaires de sextorsion. Ses recherches incluent des captures de discussions privées.
Des chercheurs en cybersécurité ont détecté la copie malveillante d'une plateforme connue pour être fréquentée par des pédophiles. Le site clone installait un logiciel malveillant qui demandait une rançon à la cible.
Le principal collectif de hackers du Kremlin prend des libertés et se lancent dans des cyberattaques peu communes contre l’Europe et les États-Unis. Ces agents du renseignement revendiquent ensuite leur attaque, en exagérant l’impact.
Est ce que vous avez entendu parler de ce qui s’est passé lors du tournoi ALGS d’Apex Legends ? C’était complètement dingue ! Un hacker qui se fait appeler Destroyer2009 a réussi à s’introduire dans le jeu en plein milieu d’un match et a filé des cheats (aimbot, wallhack…) à des joueurs pro sans qu’ils ne demandent rien.
Déjà, mettez-vous à la place des joueurs concernés, ImperialHal de l’équipe TSM et Genburten de DarkZero. Vous êtes tranquille en train de jouer le tournoi le plus important de l’année et d’un coup, PAF, vous vous retrouvez avec des hacks que vous n’avez jamais demandés ! Voir à travers les murs, avoir un aimbot pour mettre dans le mille à coup sûr… La totale quoi. Évidemment, ils ont dû quitter la partie direct, impossible de continuer à jouer dans ces conditions.
Mais le pire, c’est que ce hacker a fait ça « just 4 fun » ! Il voulait montrer à Respawn qu’il y avait des failles dans leur système de sécurité EAC (EasyAntiCheat). Bah mon gars, t’as réussi ton coup, bravo ! Tout le tournoi a été interrompu et reporté à plus tard. Les organisateurs étaient furax et je les comprends.
Bon après, faut reconnaître que ce Destroyer2009 est un sacré filou. Il a quand même réussi à pirater un des plus gros jeux du moment en plein milieu d’un événement majeur, c’est pas rien. Et en plus, il a fait ça sans toucher aux PC des joueurs, juste en passant par le jeu. Un vrai petit génie du hacking.
Mais quand même, ça fout les jetons de voir que même un mastodonte comme Apex Legends peut se faire avoir comme ça. Ça montre qu’aucun jeu en ligne n’est à l’abri, même avec toutes les protections anti-triche du monde. Et puis ça gâche la compétition pour tout le monde, les joueurs, les spectateurs, les organisateurs…
Après ce bad buzz monumental, Respawn a dû réagir au quart de tour. Ils ont balancé dans la foulée une flopée de mises à jour de sécurité pour colmater les brèches. Espérons que ça suffira à calmer les ardeurs des petits malins qui voudraient s’amuser à reproduire ce genre de coup fourré.
M’enfin, le mal est fait et ce tournoi ALGS restera dans les annales pour cette raison. Ça aura au moins eu le mérite de remettre un coup de projecteur sur l’importance de la sécurité dans l’e-sport. C’est un milieu qui brasse de plus en plus de thunes et forcément, ça attire les hackers en tout genre.
L’essentiel, c’est que le tournoi a fini par reprendre et aller à son terme, même si on a dû attendre un peu. Et puis ça nous aura permis de voir que même les plus grands joueurs peuvent se retrouver démunis face à un hack imprévu. Ça les rend plus humains ! mdrrr.