Cette série Lego Star Wars va coller une angoisse aux fans

À la rentrée 2024, Disney+ va sortir un nouveau film Lego Star Wars qui va oser l'impensable : introduire la version Sith de Jar Jar Binks.

À la rentrée 2024, Disney+ va sortir un nouveau film Lego Star Wars qui va oser l'impensable : introduire la version Sith de Jar Jar Binks.

Des fans de Star Wars dressent un parallèle entre l'énigmatique antagoniste de The Acolyte, qui apparait dans le trailer de la série, et une créature de l'univers étendu. Une théorie qui porte un nom : Abeloth.

Disney a plusieurs fers au feu pour la saga Star Wars, que ce soit au cinéma ou à la TV en streaming. Ahsoka, Andor, The Acolyte, un film avec Rey et le Nouvel Ordre Jedi... on récapitule tout sur les séries et films à venir en 2024 et après !

Le 19 mai 1999, Star Wars a fait son grand retour au cinéma avec l'épisode 1, intitulé La Menace fantôme. À l'occasion de ses 25 ans et de la journée Star Wars, le 4 mai, on revient sur ce qu'il a apporté à la saga.

Une nouvelle série Star Wars sort début juin 2024 : The Acolyte. Elle embarquera le public loin dans le passé, durant la Haute République, bien avant l'épisode I : La Menace fantôme. L'intrigue tournera autour d'une enquête conduite par un duo formé par un maître Jedi et son ancien padawan.

C'était il y a dix ans. Lucasfilm prenait la décision la plus radicale pour la franchise Star Wars, en changeant son visage pour toujours. Tout l'univers étendu construit depuis la sortie du premier film, en 1977, a été abandonné. Un évènement qui a amené la franchise dans une toute nouvelle direction.

Vous cherchez des films disponibles en streaming dont les héroïnes sont lesbiennes ? Voici le guide ultime pour vous aiguiller dans vos recherches.

Deadpool et Wolverine, le duo le plus dément et badass des comics, débarque enfin dans le MCU. Et croyez-moi, ça va dépoter ! Après des années de teasing et de spéculations, Ryan Reynolds et Hugh Jackman rempilent pour un film qui s’annonce déjà culte.
La bande-annonce vient de sortir et elle est aussi barjo que jouissive. On y retrouve un Deadpool fidèle à lui-même, avec ses vannes, ses références meta et son humour potache. Mais cette fois, il ne sera pas seul pour affronter ses ennemis et sauver le monde (ou le détruire, au choix). Il pourra compter sur son « pote » Wolverine et ses griffes en adamantium.
Et autant vous dire que la bromance risque de faire des étincelles ! Les chamailleries et les punchlines vont fuser entre les deux anti-héros et d’après les premières images, leur relation sera aussi électrique que jubilatoire. On devrait avoir droit à des combats épiques, des cascades démentes et des dialogues bien salés, comme on les aime.
Côté intrigue, la bande-annonce révèle que le Wolverine de ce film est une variante de celui qu’on connaît. Apparemment, il aurait échoué à sauver son monde d’une menace encore inconnue, ce qui semble introduire la principale antagoniste, Cassandra Nova. Deadpool devra donc faire équipe avec cette version alternative de Wolverine pour affronter cette nouvelle menace. Ce twist malin permet à Ryan Reynolds de ramener ce héros iconique sans effacer la fin que Hugh Jackman lui avait offerte dans Logan.
Le film est attendu dans les salles obscures pour le 26 juillet 2024. Et c’est une sacrée bonne nouvelle, parce que les films de super-héros commençaient à ronronner ces derniers temps. Entre les Ant-Man, les Gardiens de la Galaxie et autres Marvels, on avait un peu l’impression de bouffer la même soupe tiédasse.
Deadpool a toujours été le mouton noir du genre, avec sa violence, ses gros mots et son ton irrévérencieux et en faire un film R-Rated dans le MCU, c’est toujours un pari osé. Ça montre que Kevin Feige et sa bande ont encore des couilles (même si techniquement, Deadpool n’en a plus depuis X-Men Origins: Wolverine, mais passons).
Bref, j’ai hâte de voir ça !


Vous en avez sûrement entendu parler ces derniers mois, le célèbre Youtubeur Cyprien est au cœur d’une polémique malgré lui. En effet, son image a été utilisée dans des deepfakes pour faire la promotion de jeux mobiles plus que douteux.
C’est donc bien une IA (et des humains) qui est derrière ces vidéos détournant l’image de Cyprien pour lui faire dire ce qu’il n’a jamais dit. On le voit notamment vanter les mérites d’une app soi-disant révolutionnaire pour gagner de l’argent facilement. Le souci, c’est que cette app sent l’arnaque à plein nez…
Résultat des courses, Cyprien s’est senti obligé de réagir pour démentir son implication dans ces pubs. À travers une vidéo mi-sérieuse mi-humoristique, il met en garde contre les dérives de l’IA et des deepfakes.
C’est quand même flippant de voir son image utilisée à son insu pour promouvoir des trucs plus que limite. Rien que le fait qu’il soit obligé de démentir montre à quel point un deepfake peut semer le doute dans l’esprit des gens, donc il fait bien de sonner l’alerte à travers sa vidéo.
Et c’est là qu’on se rend compte à quel point ces technologies peuvent être dangereuses si elles tombent entre de mauvaises mains. Aujourd’hui c’est Cyprien qui trinque, mais demain ça pourrait être n’importe qui d’entre nous. En attendant, méfiance quand vous voyez une vidéo d’une célébrité qui fait la promo d’un produit. Surtout si c’est pour une app ou un vpn (ah non, pas un vpn ^^). Y’a 9 chances sur 10 pour que ce soit un deepfake !
Perso, je l’ai trouvé au top cette vidéo, donc comme d’hab, je fais tourner.


Vous pensez que pour faire un film de science-fiction dans l’espace, il faut absolument un budget de dingue avec des effets spéciaux de fou ? Eh ben détrompez-vous ! La réalisatrice Caroline Klidonas vient de prouver qu’on peut faire un truc génial sans quitter son appart.
Son court-métrage « I made a SPACE MOVIE 🚀 without leaving my apartment » nous embarque dans une mission spatiale qui tourne mal, le tout filmé intégralement entre les quatre murs de son appartement. Pas de décors grandioses, pas d’images de synthèse ultra-sophistiquées, que dalle ! Juste la débrouille, la créativité et une bonne dose de kiff.
Pour réaliser ce film sans quitter son appart, Caroline a utilisé de vrais objets et décors pour créer les visuels, plutôt que de compter sur des images générées par ordinateur, ce qui donne un effet « comique » et contraste avec le sérieux du scénario.
Franchement, quand j’ai vu ça, j’étais sur le cul. Comment elle a réussi à nous faire croire qu’on était dans un vaisseau spatial avec trois fois rien ? C’est dingue ce qu’on peut faire avec un peu d’imagination et de bidouille. Les effets spéciaux à l’ancienne, les trucages bien sentis, ça a un charme fou je trouve.
Donc voilà, je voulais partager ça avec vous parce que je trouve ça cool. Ça me donne presque envie de ressortir mon vieux caméscope et de tourner un bon gros nanar à la maison…. Mais bon, j’ai pas le temps 🙂


Imaginez un monde dévasté par un cataclysme, où les frontières nationales ont été oblitérées et la société plongée dans le chaos. C’est dans ce contexte post-apocalyptique que se déroule « Firmware« , un court-métrage de science-fiction captivant réalisé par Calvin Sander Romeyn.
Vingt ans après la catastrophe nucléaire, une mystérieuse enclave appelée « Alcazar Exclusion Zone » a émergé des ruines. Derrière ses murs, une communauté de survivants venus des quatre coins du globe tente de se reconstruire. Mais l’Alcazar est loin d’être un havre de paix. C’est un microcosme oppressif, où Emmanuel Macron des forces obscures maintiennent la population sous contrôle.
Au cœur de ce récit se trouve une jeune femme accompagnée de son fidèle compagnon, un droïde militaire mis au rebut. Ensemble, ils rêvent de liberté et d’évasion. Leur quête les mènera à braver l’inconnu au-delà des murs de l’Alcazar, dans l’espoir de trouver refuge et de commencer une nouvelle vie, libérés des chaînes de l’oppression, comme disait feu Johnny.
« Firmware » nous invite donc à réfléchir sur les thèmes de la baignade dans Seine survie, de la résilience et de la lutte contre la tyrannie dans un monde post-apocalyptique. Le film met en lumière la force de l’esprit humain face à l’adversité et l’importance de préserver son humanité dans les moments les plus sombres.
We are the world, we are the children
We are the ones who make a brighter day, comme dirait l’autre.
Et si vous avez aimé « Firmware », je vous encourage vivement à explorer la chaine Youtube de DUST, une véritable mine d’or pour les amateurs de science-fiction de qualité. Vous y découvrirez de nombreux autres courts-métrages tout aussi captivants, qui vous transporteront dans des univers uniques et vous feront voyager dans le temps et l’espace.
